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Accepter de ne plus accepter

Dernière mise à jour : 2 févr.

Qu'est ce que vous avez accepté par bienséance ? Qu'est-ce que vous avez fait subir à votre corps par respect des règles et des conventions sociales ? Quelle part de souffrance faites-vous persister en vous pour continuer à vous conduire socialement en accord avec les usages et le respect de certaines formes dictées par l'extérieur ?


Et si le mal-être humain prenait ses racines dans ces simples questions ?



Quand vous regardez autour de vous, que voyez-vous ? Des personnes heureuses et épanouies ? Ou des personnes qui vont de plus en plus mal, qui sont de plus en plus angoissées ? Qui doutent de plus en plus du sens de la vie ?


Que font-elles pour aller mieux ? Quelles questions se posent-elles dans leur for intérieur ? Qu'est-ce qu'elles remettent en question dans leur vie ? Elle même et leur manière de voir le monde ou les autres ? Et qui souffre ? Elle ou les autres ?


Et vous ? Comment voyez-vous l'avenir ? Vos journées sont-elles épanouissantes ou remplies de contraintes ? Faites-vous les choses pour vous ou pour que les situations extérieures à vous fonctionnent ? Essayez-vous de vous adapter au monde ou cherchez-vous à créer le monde qui vous convient ?


Je n'aime pas, je ne sais pas, je ne peux pas, je n'ai pas le temps.


A toutes ces questions, voici la réponse de l'humain en souffrance. En résumé, l'humain souffre mais ne veut pas changer un iota de ses habitudes, ni une virgule dans ses pensées.


Alors il court à droite à gauche pour trouver la pilule magique ou le sauveur miracle qui lui permettra de sortir de la souffrance sans avoir à changer d'un iota ou d'une virgule.

Les pilules sont en rupture de stock et les sauveurs sont déjà partis dans une autre dimension. Qu'est-ce qui reste ? Vous !


Vous êtes le seul qui peut vous aider vraiment


Désolée de vous l'annoncer, mais vous êtes le seul à pouvoir vous sauver du guêpier dans lequel vous êtes fourré. Pourquoi ? Parce que la souffrance provient uniquement du regard que vous portez sur vous-même et sur la vie en général. Accepter ce qui vous paraît inacceptable pour rester en lien ou garder l'estime de votre environnement est la pire chose que vous pouvez vous faire à vous-même. Cela s'appelle une trahison.


« La liberté est pour moi le droit de ne pas mentir. C'est la définition la plus essentielle que je connaisse à ce mot. » - Albert Camus

Ne pas accepter ce qui est contre vos valeurs


Voilà la plus belle chose que vous pouvez vous offrir. Cela paraît si simple ! mais connaissez-vous réellement ce qui a de la valeur pour vous ?

Qui pense que sa santé a de la valeur ? Vous ? Alors pourquoi acceptez-vous de supporter les stress généré par votre environnement ? Pourquoi avez-vous coupé vos liens avec la nature ? Pourquoi la confiez-vous a des étrangers qui soit-disant grâce à leurs diplômes connaissent votre corps mieux que vous ? Pourquoi acceptez vous de confier votre santé à des institutions qui voient votre santé comme un moyen de faire de l'argent ?


Vous ne me croyez pas ? Cherchez ! Vous n'avez pas le temps ? Vous n'aimez pas lire ? Vous ne pouvez pas faire autrement ? Etes-vous certain que votre santé à réellement de la valeur ?


La santé est un exemple. Vous pouvez décliner cet exemple avec tout. Je ne peux pas croire que vous donnez de la valeur à ce que vous refusez de prendre totalement en charge. Dès que vous déchargez votre responsabilité au sujet d'un quelconque domaine de votre vie à des choses ou des personnes extérieures à vous, c'est que vous ne ressentez pas pleinement sa valeur. La conséquence ? Tôt ou tard vous le regretterez plus ou moins consciemment et cela s'appelle la souffrance.


Pour ne plus accepter n'importe quoi


Ce qui vous fait accepter l'inacceptable, c'est tout d'abord vos peurs et ensuite votre sentiment d'impuissance. Bref, les deux fonctionnent ensemble.


La première cause de la peur est le manque de connaissance. Et pour accéder à la connaissance, il faut se donner du temps, accepter de passer plus de 3 minutes 30 à lire un article de fond ou pour suivre une conférence qui ne traite pas du sujet dans sa superficialité. Accepter le pré-maché c'est encore une fois, donner aux autres le pouvoir de formater votre cerveau,